Un petit problème

Murato arriva à Mindia accompagné de Mirador et alla au poste de marine le plus proche, sur la digue qui n'était pas en réparation, l'autre avait subie un attentat il y a quelques temps.
Une fois le colis posé, Murato décida de visiter la ville.
Un bout d'un moment, fatigué, il entra dans un bar....

Ce gros poisson était en réalité un musée ou il y avait eu un vol il y a un petit moment.
Murato dût laisser Mirador à l'entrée car ils n'acceptaient pas les chiens.

Arriver devant une vitrine, il lu : La dague du grand Talifurne n'est pas exposée pour des raisons indépendantes de notre volonté.

Murato appella un gardien pour lui demandait si c'était l'objet volé.

-- Pardon, est-ce l'objet qui vous a été dérobé.
-- Oui, et alors ?
"Désagréable ce gars"
-- Vous n'avez pas l'air boulversé.
-- Non, qu'es-ce que ça peut vous foutre ?
-- Rien, rien

Murato décida de suivre le gardien et s'installa dans un petit hôtel tenu par un de ses amis.
Il prit une chambre avec vue sur le musée.
Le soir venu....

Murato vit le gardien sortir par une petite rue transversale avec une mine de conspirateur.
Il décida de le suivre.

Au bout d'un moment, ils étaient sortis de la ville, Murato toujours caché, Mirador sur ses talons.
Le gardien se diriga vers une forêt, mais se retournait fréquament pour vérifier qu'on ne le suivait pas.
Malheuresement, il vit Mirador, mais dans l'obscurité, il le prit pour un Chicora et s'enfuit en courant.

Murato dût courir lui aussi pour le suivre, tout en poussant quelques jurons.

Au bout d'un moment, il vit le gardien s'arrêter près d'un dolmen et disparaître.
" Ben, il est où ? C'est pas vrai, je vais devoir l'attendre une heure. Et mer... j'en ai marre. "
Et il s'installa sur une pierre assez confortable.
Pendant ce temps, Mirador se mit à creuser pour enterrer un os de Corle.
Au bout d'un petit moment, il heurta une plaque en métal.

-- Ouaf ouaf.
-- Qu'y a t-il Mirador ?
-- Ouaf wouf.
-- Bravo tu a trouver un passage pour entrer là où se terre le gardien.

Murato enleva la plaque et entra, de là où il était, il pouvait entendre des voix.

-- Alors, m'apporte-tu enfin la dague du grand Talifurne ?
-- Oui maître, j'ai enfin put l'enlever de sa cachette dans la cave du musée.
-- Donne-la moi !!!!
-- Prenez maître.

Tout en descendant avec Mirador dans le sac, Murato pensait. ( quel exploit. )
" je le savais que c'était ce gardien, le sale traître, je le tuerais."

-- Maintenant, je n'ai plus besoin de toi, disparaît !!
-- Mais, et ma récompense maître ?
-- Ta récompense ? Hahahaha, comme si tu comptait en avoir une.

A ce moment là, Murato sortit de la fissure, prit une fléche et banda son arc tout en allant vers la source des voix.

Lorsqu'il vit le gardien, il tira.
Un corps s'effondra au sol dans un bruit sourd, le traître était mort.
L'autre personnage s'enfuit.

Malheuresement pour lui, il tomba sur Mirador, qui lui sauta dessus.
Murato les rejoingnit sur ces entrefaits et se jeta dans la bagarre à mains nues.
Au bout d'un moment, Murato finit par donner un coup assez fort sur la tête du bandit, qui s'évanouit.

Murato le ligota, le mit avec le corps du gardien dans un chariot de l'ancienne mine désafectée dans laquelle ils se trouvaient.
Murato poussa le chariot dans le chemin qui avait un accès sur le poste de marine, puis il sauta dedans après y avoir mit Mirador.

Pendant que le chariot allait à toute vitesse dans les chemins, Murato se rappella pour quoi il se trouvait là et se mit à fouiller le bandit.
Il finit par retrouver la dague dans un paquet de nourriture gluante et pâteuse.

" Beurk, le vicieux, il est près à tout."

Puis il se rendit compte qu'ils allaient bientôt sortir des tunnels lorsqu'il vit un conduit étroit.
Deux secondes plus tard, le chariot défonça la terre de la bouche d'arrivée d'air des cachots, décapita un bandit et manqua de faire pareil à un marine qui montait la garde.
Ils s'arrêtérent lorsque le chariot entra en collision avec une des murs en pierres de la pièce.

-- Alerte, intrusion dans les cellules, intrusion dans les cellules.

Avant même que Murato pût reprendre ses esprits, ils étaient entourés par une dizaine de marines qui les menacer de leurs armes.

-- Menez moi au patron, dit-Murato avant de s'effondrer par terre, évanouit.

Murato fut porter par deux marines pendant que les bandits montèrent sans problème, bien qu'un peu secoué.
Une fois dans le bureau, il fut accueillit par le chef.

-- Eh bien, on arrive en chariot en défonçant une cellule, on tue un prisonnier, on agresse monsieur Dekuzami et le gardien du musée, et on espére sans doute sen tirer à bon compte ?
-- Ils ont volé la dague de Talifurne, la voilà. C'est le gardien qui l'a dérobée. Dit-Murato en lui tendant la dague.
-- Moui, mais rien ne prouve la complicité de monsieur Dekuzami.
-- Il avait la dague quand je les ai attrapés.
-- Demandons au gardien, voulez-vous ? Puis au gardien : Avez vous dèjà vu monsieur Dekuzami ?
-- Non.
Murato : Quoi !! Il lui a donner la dague avant que je les arrête.
Chef : Comme vous avez prit la dague, il nous est dificille de vérifier. Nous allons garder le gardien, mais nous relacherons avec toute nos excuses, monsieur Dekuzami. Vous êtes libre monsieur.

" L'imbécile, qui dit qu'il ne recommencera pas à la 1ére occasion ? En plus, je ne l'ai pas capturer en 30 secondes. Je tuerais ce Dekuzami dés que je pourrais le faire sans être sûr de ne pas me faire prendre."

-- Bon, voici 1000 leyis pour avoir retrouver la dague et capturer le gardien et aussi 5000 pour votre salaire.
-- Merci. A oui, je ne montre pas mes insignes, mais je suis Amiral en chef maintenant, alors dés que vous avez un motif, capturez moi Dekuzami et mettez le au frais en attendant ma prochaine visite.
-- A vos ordres Amiral.

Qg marine, car j'ai du mal à trouver des idées en ce moment. (mais j'écris quand même, hein Sasukay.)